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    Arrivé en Thaïlande en 1963 (il existe plus d’un demi-siècle), il fit �l�ment terrain au sein des districts relatives au Chiang Dao et de Mae Thaeng, dans la province relatives au Chiang Mai, au continent du pays, dont il tira une thèse pour l’université du Texas, en 1965, et un ouvrage devenu classique (Van Roy 1972). Il s’agissait de la large époque de recherche américaine en Thaïlande, notamment avec la direction de l’équipe de l’université Cornell, cadre dans lequel s’inscrivent la majorit� des travaux de Van Roy. 2Dès 1966-1967, il avait travaillé � Bangkok tel économiste pour les Nations unies. En dehors d’une brève période d’enseignement � une State University of New York, Edward Van Roy passa les années 1967 � 1997 comme économiste � l’Escap de Bangkok. Réalisant vraisemblablement que les prestations étaient rares sur Bangkok, Van Roy commença une série de monographies parmi les principaux groupuscules ethniques présents dans la agglom�ration.
    3Des huit chapitres sommaire comprend l’ouvrage, six se trouvent �tre consacrés � l’étude de nombreuses minorités ethniques de Bangkok. Pour chacune d’entre elles un ou bien plusieurs tuyaux indiquent leur localisation au sein de Bangkok. 4Le chapitre deux (p. 42-70) porte sur ces Portugais. Cela peut abasourdir, car, quand ce sont diverses voyageurs portugais qui ont établi les premiers contacts avec le Siam au début du xvie siècle, ceux-ci sont un cas � part, puisqu’ils ont donné naissance � un domaine ethnique assez original. Il s’agit en r�alit� ici d’une monographie au seins des Portugais au Siam et il n’est question du Bangkok-Thonburi sommaire dans la seconde partie du chapitre (p. 5Le chapitre 3 (p. 71-104) se r�v�le �tre une très complète étude des Môns de Bangkok et de Thaïlande. Une planim�trie très documentée des communautés mônes d’Ayutthaya, de Thonburi et de Bangkok est proposée, puis suivie de neuf pages sur l’affaiblissement de l’ethnicité mône (p. 99-104). Notons que Van Roy a bien compris ce rôle essentiel joué par les Môns avec l’arrivée au sein du trône du premier roi de la dynastie Chakkri (p.
    6Le 4e chapitre (p. 105-130) se trouve �tre plus original puisqu’il est pr�t question des prisonniers relatives au guerre lao, depuis l’aristocratie jusqu’aux p�ons. Une distinction semble d’abord faite entre les prisonniers de bellig�rance et les esclaves du guerre, n�anmoins Van Roy nous indiqu� ensuite par rapport aux termes de captifs (chaloei) et esclaves (that) se trouvent �tre interchangeables (p. 107). L�, également notre staf a un ouverture très exhaustif des communautés lao & lao phuan de Bangkok et Thonburi2. 7Dans le chapitre 7 (p. 131-170) sont étudiés tous les groupes musulmans de la capitale. Il débute via ce qui paraît aujourd’hui être un pléonasme: Khaek Isalam, puisque khaek désigne l’ensemble des mahom�tans (mais également les Indiens, quelle que soit � elles religion). Van Roy se pr�sente comme un peu obsédé par les chiffres et se plaît � avancer des estimations et de nombreuses pourcentages. Or, chacun sait que les statistiques anciennes (voire plus récentes) de la Thaïlande ne se trouvent �tre pas fiables et qu’il convient d’être prudent. Une première cat�gorie consacrée par rapport aux musulmans (p.
    onakunevie.com ), masse depuis longtemps sensible, se trouve �tre une série de transcodes presque en totalit� contestables. Je dois m’arrêter sur la population chame succinct je peux le mieux. Au sein du village de Ban Khrua, que j’ai personnellement étudié, les informations données par Van Roy ne se trouvent �tre pas loin d’être un ensemble de contre-vérités. Dès la variante du nom ancien du village, Passoire Roy nous donne le mot � mot irrecevable: Muslim Households Village, alors que Khaek Khrua n’est que le nom donné aux Chams de Thaïlande au xixe siècle. La mention de spécialisation dans la soie, lequel ne naissance réellement sommaire de l’après Seconde Guerre mondiale, montre une méconnaissance assez étonnante alors que la documentation est abondante. Au mieu surprenant de sorte � cette pi�ce est sans doute sommaire le développement concernant les populations d’origine malaise, qui constituent une des plus importantes minorités de Bangkok (p. 151-160), est � peu près équivalent � celui concernant celles d’origine indonésienne qui sont infiniment bien moins nombreuses (p. 160-167). En outre, la limite fixée via Van Roy de 1910 empêche de prendre en compte la majorit� des populations arrivées après cette date.