Foin T., vivre en thaïlande . Régionalisation mais aussi reconfigurations urbaines: La région thaïlandaise de Chiang Rai. Université Paris-Diderot, Géographie, Paris, 109 p. 1En 1994, le gouvernement thaïlandais amorce un processus de déconcentration au sein de l’objectif de réduire les disparités socio-économiques entre la Circonscription Métropolitaine de Bangkok (RMB) et les régions périphériques. Ce transfert de compétences à l’échelle locale s’est effectué conjointement aux grandes techniques planifiées par ce programme du du Grand Mékong (RGM). retraite en thaïlande , force par la Don Asiatique de Progression (BAD), a notamment développé, au flanc d’une vision territoriale et sectorielle, l’approche des corridors touchant au commerce mondial. Ces derniers, laquelle peuvent prendre différentes appellations selon à eux classification, sont définis par Thein Swe et Paul Chambers (2011) comme des « couloirs professionnels constituant de tendance territoires supranationaux au sein desquels la majorité des infrastructures de transport facilitent le développement et la développement économique des territoires, en reliant les différents centres de ébauché et de affaire ».
Si les passages sont désignés tel des outils d’intégration régionale du passe qu’ils transcendent la majorité des frontières et qu’ils connectent les élément économiques des pays, ils ont aussi pour vocation, via leur capacité à capter les flux de capitaux, relatives au marchandises sans compter la individus, d’encourager la prolifération socio-économique des territoires traversés, principalement à l’échelle des villes. 2Malgré une abondante littérature académique parmi les passages, peu d’études se sont intéressées à définir les dynamiques urbaines et socio-économiques induites par la majorité des corridors à l’échelle locale. De le constat, il a semblé opportun d’analyser les interactions chez un corridor économique et une agglomération de taille moyenne disposant d’une ambiance stratégique. La ville de Chiang Domaine, capitale de la province de même nom au Nord relatives au la Thaïlande, a été retenue pour mener à bien cette recherche. 3En s’inscrivant dans une continuité des recherches sur les villes asiatiques questionnant le rôle de la globalisation dans l’émergence «de nouvelles configurations intra-urbaines, réticulaires et d’échelle régionale » (Franck et Sanjuan, 2015), ce billet interroge le rôle structurant de ce corridor Nord-Sud dans l’échelle une ville de Chiang Partie, par le prisme de nouvelles dynamiques socio-économiques et urbaines.
Çuila s’organise autour relatives au quatre parties, après avoir défini la catégorie conceptuel sur les interactions villes/corridor il sera exposé alternativement le processus d’internationalisation de ville, l’actuel reconfiguration urbaine articulée autour du corridor Nord-Sud puis la nouvelle hiérarchisation des destinations provinciales et régionales. 4Bien que ces concepts « d’intégration régionale » et de « région » soient centraux dans cette recherche, les définitions qui leur sont attribuées et les plusieurs interprétations qui sous sont faites, en fonction la discipline académique ou l’approche fréquentée, ne seront pas débattues dans de fait cet article. onakunevie.com éclairant de se concentrer avant tout parmi les villes. 5Les passages économiques de la RGM, développés – cours de 2 grandes phases de planification (1ère harmonie 1992, 2nde adéquation 2002), sont aujourd’hui au nombre du huit. Ce trame aisera à relier l’ensemble des états et des centres touchant au commerce mondial du entre eux et d’intégrer de nombreuses pays, comme une Chine, à de nouveaux marchés professionnels. L’approche des passages, soutenue avec sa BAD, a généré une relation d’interdépendance parmi ces outils d’intégration régionale et ces villes. 3 La BAD classe quant à elle les localités selon leur rôle économique sur la majorité des corridors.
6Les villes n’ayant pas toute un même rôle ni le même masse économique et politique, plusieurs classifications ont été pensées pour les hiérarchiser. Le géographe Christian Taillard (2009 et 2010) hiérarchise ces villes sous quatre catégories conformément à leur(s) fonction(s) & leur degré d’intégration à l’échelle territoriale et régionale3. Les têtes de réseaux et les nœuds principaux combinent ce plus souvent l’ensemble des fonctions économiques et politiques, à l’inverse, les nœuds secondaires et ces villes relais ont été développés par une spécialisation de leurs activités économiques. 7Pour illustrer davantage cette classification, appliquons-la au téléphone corridor Nord-Sud. Celui-là s’articule entre 2 têtes de réseaux, les métropoles relatives au Kunming et relatives au Bangkok. Ces dernières ont la possibilté de être considérées de ce fait par leurs emplois utiles politiques et économiques à l’échelle de ce corridor et à travers leur degré d’intégration à l’échelle régionale et mondiale. En effet, Bangkok & Kunming sont chacune situées au emmêlement d’autres corridors4, ces dernières jouent donc un rôle clé au sein de cette RGM pareillement à au sein de la structuration de corridor Nord-Sud, puisque ce sont-elles laquelle influent majoritairement le développement des flux du biens et interventions, de capitaux sans compter la personnes.
Vient ensuite la majorité des villes définies comme nœuds principaux, via leur localisation au sein du corridor, à notre échelle inférieure que les têtes relatives au réseaux, celles-ci disposent de assimilé des fonctionnalités économiques et/ou politiques, qui leur offrent désormais un plus adapté statut à l’échelle nationale et régionale (Franck M. 2014). C’est notamment le cas des localités de Chiang Partie et de Jinghong (Yunnan, Chine) quiconque située à une jonction des routes R3A (Laos) et R3B (Myanmar) de ce corridor Nord-Sud. Enfin, troisième échelon significatif, les nœuds subalternes localisés généralement le long des passages au niveau de nombreuses frontières nationales. Comme par exemple les villes limitrophes de Mae Sai et Tachilek de frontière Thaïlande-Myanmar sur la route R3B ou encore Chiang Khong et Houayxay à la frontière Thaïlande-Laos au sein de la route R3A. Selon les services d’Elsa Lainé (2013), leur modèle de développement est directement lié aux dynamiques transnationales inhérentes au passage du coulisse, qui occasionnent notre spécialisation de leurs fonctions (productions, échanges).